Ronde matinale et découverte [PV Colleen]

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C'était un samedi matin et le Professeur McGonagall venait de me réveiller pour que je prenne mon tour de ronde dan le quatrième étage. Il était alors quatre heures du matin lorsque j'arrivai devant la bibliothèque, je scrutais encore une fois l'obscurité mais il n'y avait personne. Je rentrais alors dans la bibliothèque et j'entendis alors un bruissement de plume, quelqu'un n'était pas dans son lit et je dit alors :

- Qui est là ?

Messages : 475 Date d'inscription : 12/07/2011 Age : 29 Localisation : Poudlard

Colleen était revenu de Pré-Au-Lard avec le cœur en miette et n'avait pas trouvé le courage d'aller se nourrir, elle était montée dans le quartier des Gryffondor et avait gagné son lit dans l'espoir d'un lendemain meilleur, d'un lendemain ou son père serait là et même peut être sa mère, ou le cauchemar d'Askaban n'existait pas, où elle serait peut être frappée par ses parents mais ou ils seraient là ...

Toutefois, elle ne trouvait pas le sommeil, même le monde des rêves ne voulait pas d'elle ...

Ils avaient raison, tout est ma faute ... Si je n'avait pas été là, ils seraient ensemble dans le manoir Lestrange, ma chambre ne serait qu'une chambre d'amie comme il y en a des centaines dans cette grande maison ...

Elle de rappelait d'une histoire que lui avait raconté un élève dont les parents étaient moldus, celle du vilain petit canard ...
C'était une histoire pour enfant mais ... Elle commençait près d'un lac, il y avait quatre œufs. Un jour, ils éclosent et une maman cygne s'approcha de ses petits, il y en avait quatre mais seulement trois étaient des cygnes, le quatrième était différent, elle entraina les quatre petits dans l'eau ... Mais le petit dernier ne de trouvait pas à sa place, il était triste ... Mais un jour, il arriva une canne et ses nombreux enfants qui ressemblaient beaucoup à notre héros, c'était l'enfant qu'elle avait perdu, alors, le petit canard retrouva sa maman et grandi autour de ses frères et sœurs, heureux.

Peut être qu'elle aussi n'était qu'un vilain petit canard au fond ... Elle se sentait seule dans son lit, triste et ne savait plus quoi faire pour s'occuper l'esprit ... Elle compta alors les moutons comme le lui avait apprit sa nourrisse quand elle était petite.

Un mouton, deux moutons, trois moutons, quatre moutons, ..., dix moutons ...

Colleen s'endormit ...

Un homme faisait les cent pas dans une grande maison, mais tout à coup, de grand coups furent donner à la porte d'entrée, il sorti sa baguette et s'approcha de la porte, il l'ouvrit mais avant qu'il n'est eut le temps de faire un geste, on lui jeta un sort pour l'immobiliser avant de lui prendre sa baguette et de l'emmener ...

Mr. Lestrange, vous êtes en état d'arrestation.

Colleen se réveilla en sursaut et tout en sueur dans son lit, elle gémit un moment puis s'assit dans son lit, les jambe repliées contre sa poitrine ... Elle pleura un moment puis regarda l'heure, il était près de trois heures, elle savait qu'elle aurait des ennuis si elle était vue dans les couloirs mais le jeu en valait la chandelle, elle devait écrire mais savait qu'elle risquait d'être interrompue en restant dans les quartiers Gryffondor, elle passa alors en silence la grosse dame et marcha lentement et doucement dans les couloir plongeaient dans l'obscurité totale ... Elle continua à marcher doucement puis atteignis enfin la Bibliothèque, elle se glissa alors dans un coin et attrapa un parchemin vierge, un support pour écrire et sa plume. Elle commença alors à écrire se qu'elle pensait dans un premier temps puis chaque détail de son cauchemar. Les larmes qui coulaient le long de ses joues laissèrent un sillon sur sa peau mais elle ne l'essuya pas, continuant d'écrire dans son coin, recroquevillée ...

Mais alors qu'elle venait de commencer à écrire sa journée pour le moins étrange vu qu'elle avait pleuré (d'un) dans les bras de son cousin (de deux) et que celui ci lui avait promit de la protéger cette fois ci, de tenir la promesse qu'il lui avait faite (de trois), une voix s'éleva :

Qui est là ?

Colleen arrêta de respirer et d'écrire aussi, mais après tout, peut être qu'un moment avec un professeur lui suffirait pour trouver une oreille attentive ... Elle se leva, trébucha et se rattrapa au meuble le plus proche avant de dire :

C'est moi.

Elle vit alors la personne qui l'avait dérangé, la préfète de Serdaigle.

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Après quelques seconde, j'entendis une voix me répondre :

- C'est moi.

Je pensais alors que c'était une Serpentarde car c'était ce genre de réponse que ceux-ci donnait. Je m'approchais un peu mais resta tout de même méfiant enfin j’aperçus non pas une Serpentarde comme je l'avais pensé mais une Gryffondor. Pour combler le tout c'était l'une de mes amies, Colleen Lestrange je me demandais alors en moi même :

*Mais que fait-elle ici toute seule à cette heure alors qu'on ne peut pas se promener tout seul la nuit ?*

Je me mis alors à sa hauteur et dit :

- Colleen que fais-tu ici à cette heure ?

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Lindsay avait l'air méfiante puis surprise ... Pour sa part, Colleen avait simplement baissé les yeux, puis la Serdaigle se mit à sa hauteur et lui dit :

Colleen que fais-tu ici à cette heure ?

La jeune élève de Gryffondor fixait ses pieds qui alors qu'elle ne s'en était pas aperçu étaient nulle puis regarda la jeune-fille en murmurant :

J'avais besoin d'être seule ... Pour réfléchir ...

Elle rebaissa la tête et vit qu'elle était habillée, elle avait dormis habillée et la seule chose qu'elle avait du enlevée était son collant ... Elle se mordit alors la lèvre inférieure et trifouilla ses doigts en arrachant certains morceaux de peau autour de ses ongles rongés

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Lorsqu'elle me répondit que celle-ci avait besoin de réfléchir. Il fallait que j'accomplisse mon devoir de préfète alors je lui dit :

- Ecoute colleen je ne t'enlève pas de point pour cette fois mais je remarque que tu n'a pas l'air bien que ce passe-t-il ? Tu veux qu'on en parle ?

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Colleen avait l'impression d'être une madeleine, elle fondit en larmes en entendant la préfète en chef. Les points enlevés a sa maison lui éviterait des regards de travers mais parler a une élevé lui semblait impossible, on la trainerait au pilori avant même qu'elle n'est eut le temps de sortir sa baguette. Elle n'osait même pas imaginer ce qu'elle vivrait quand le bruit s'emietterait et intindrait les oreilles des élèves du collège de sorcellerie. Elle trouva toutefois la force de répondre et repprit la parole d'une voix faible et etouffee :

Oui, pourquoi pas parler

Elle avait du mal a croire ce qu'elle venait de dire mais son cœur avait parlé. Après tout, en tant que prefete elle était mieux placer que qui quinquennal pour l'aider et lui dire quoi faire.